| | La philo | |
| | Auteur | Message |
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Corisme La Fondatrice
Nombre de messages : 1099 Localisation : Hirson Date d'inscription : 19/02/2005
| Sujet: La philo Jeu 9 Juin à 17:27 | |
| Alors? Impressions? Quel sujet vous avez pris? Vous pensez vous etre pas mal débrouiller??? Moi pour ma part j'ai pris la liberté, est ce ne jamais rencontrer d'obstacle? et jsui assez fier de ce que j'ai fait voila! | |
| | | Miliiiie Enigmatique
Nombre de messages : 792 Localisation : Saint-Michel Date d'inscription : 23/02/2005
| Sujet: Re: La philo Jeu 9 Juin à 18:04 | |
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| | | Marion Enigmatique
Nombre de messages : 633 Localisation : Buire Date d'inscription : 20/02/2005
| Sujet: Re: La philo Jeu 9 Juin à 18:17 | |
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| | | Corisme La Fondatrice
Nombre de messages : 1099 Localisation : Hirson Date d'inscription : 19/02/2005
| Sujet: Re: La philo Jeu 9 Juin à 20:56 | |
| Etre libre, est-ce ne rencontrer aucun obstacle ?
I - LES TERMES DU SUJET
A - LIBERTE
Une notion dont chaque sujet humain fait l'expérience sur un mode intuitif (on se sent libre, on a le sentiment de sa liberté) et qui peut être définie de différentes façons : la liberté comme spontanéité, libre arbitre, projet, création, licence.
B - NE RENCONTRER AUCUN OBSTACLE
Une expression ordinaire. Le terme d'obstacle n'est pas un concept philosophique. Il renvoie à une limitation qui peut prendre de multiples formes comme le suggère le terme "aucun" (il faut envisager tous les obstacles possibles ! ). Un obstacle peut en effet être d'ordre matériel, physique, psychologique, moral, juridique, politique.
II - L'ANALYSE DU PROBLEME
La liberté, c'est l'expérience d'une spontanéité par laquelle l'homme s'affranchit des déterminations causales : il peut se mouvoir par lui-même contrairement aux êtres inanimés ; il peut agir comme il le décide contrairement aux êtres vivants guidés par l'instinct. Mais cette expérience implique-t-elle l'abolition de toute détermination ? La liberté est indissociable de l'action. Or qu'est-ce qu'une action qui n'aurait aucun monde objectif dans lequel et sur lequel agir ? Le sujet invite ainsi à se demander si la liberté peut être assimilée à la licence et à la puissance, ce qui amène à préciser les relations qu'entretiennent les notions de liberté et de contrainte.
III - UNE DEMARCHE POSSIBLE
A - LA LIBERTE ABSOLUE EST UN MIRAGE
1) La liberté absolue
Intuitivement, la liberté s'expérimente comme absence de contraintes : on se sent libre quand on ne subit ni contrainte physique, ni interdiction morale, ni pression psychologique. Le sentiment de liberté naît alors du fait que le principe de l'action est en nous et n'est pas déterminé par un principe extérieur. Ce sentiment est très clair quand nous parvenons à assouvir nos désirs sans rencontrer de résistances. D'où l'illusion que la liberté se confond avec la possibilité de donner libre cours à tous nos désirs. C'est la position de Calliclès qui affirme, dans le Gorgias, que le tyran est l'homme le plus heureux parce qu'il a la puissance de satisfaire tous ses désirs.
2) La liberté n'est pas licence absolue
La liberté dont parle Calliclès est un mirage. Le désir humain en effet ne connaît pas de limite naturelle, comme chez les animaux avec l'instinct. L'homme libre dont Calliclès fait l'éloge est semblable à un tonneau percé que l'on ne parviendra jamais à remplir. Vouloir assouvir tous ses désirs est le moyen assuré d'être perpétuellement frustré. La liberté suppose que l'on sache différencier ce qui est simplement plaisant et ce qui est objectivement bon.
B - TOUT OBSTACLE N'EST PAS ALIENANT
1) Le contrôle des passions
La recherche d'un bien objectif oblige à renoncer au présupposé selon lequel toute contrainte est aliénante. La raison humaine permet à l'homme de savoir user de sa liberté. Elle permet ainsi à l'homme de ne pas être l'esclave de ses passions et de manifester sa liberté au travers du contrôle de soi (même quand on se fait broyer la jambe comme dans le cas du stoïcien Epictète!)
2) "La liberté est l'obéissance à la loi qu'on s'est donnée"
La raison est surtout la source de la limite qui est à la base de notre humanité : elle nous indique en effet la loi que nous devons respecter si nous voulons agir moralement (l'impératif catégorique de Kant). Cette loi qui s'impose à nous n'est pas une contrainte aliénante mais une obligation : nous choisissons librement de lui obéir parce qu'elle provient de notre nature rationnelle. Nous en sommes à la fois les destinataires et les auteurs. Elle est la loi que nous nous sommes donnés à nous-mêmes (auto-nomos).
C - LA LIBERTE COMME PROJET
1) Etre libre, c'est assumer notre situation
L'autonomie de l'homme l'amène à user de sa liberté avec responsabilité. Loin de se confondre avec la licence absolue, la liberté nous engage donc à forger un projet de vie qui tienne compte des déterminations objectives. Sartre va jusqu'à dire que c'est notre liberté elle-même qui crée les obstacles : cette montagne n'est infranchissable qu'à partir du moment où je choisis de la franchir !
2) Les contraintes peuvent stimuler la création
La liberté n'est donc pas allergique à tout ce qui lui fait obstacle. Elle peut aussi en tirer parti comme on l'observe dans le cas de l'art. Les contraintes de la métrique (pour le sonnet par exemple) ont plus favorisé qu'elles n'ont empêché la création de poèmes magnifiques.
IV - DES REFERENCES UTILES
Platon, Gorgias Kant, Fondements de la Métaphysique des Mœurs Sartre, L'Etre et le Néant V - LES FAUSSES PISTES
Ne pas voir l'importance du terme "aucun" qui invite à envisager la pluralité des obstacles possibles et à recourir à différents domaines pour traiter la question (morale, psychologie, esthétique).
VI - LE POINT DE VUE DU CORRECTEUR
Un sujet sur la liberté qui amène à critiquer le mirage d'une liberté assimilée à l'absence de contraintes et donc à l'irresponsabilité. | |
| | | Corisme La Fondatrice
Nombre de messages : 1099 Localisation : Hirson Date d'inscription : 19/02/2005
| Sujet: Re: La philo Jeu 9 Juin à 20:59 | |
| La sensibilité aux œuvres d'art demande-t-elle à être éduquée ?
I - LES TERMES DU SUJET
La sensibilité désigne notre capacité à être affecté ou ému par quelque chose, ici par les œuvres d'art. Il s'agit donc non pas seulement de percevoir les œuvres mais aussi de les apprécier que ce soit positivement ou négativement.
"Les œuvres d'art" : il est ici question non pas de l'art en général mais des productions artistiques considérées dans leur diversité. Le sujet invite donc à considérer les œuvres d'art dans tous les domaines (peinture, sculpture, architecture, etc) et à tenir compte des multiples formes qu'elles prennent dans l'histoire.
"Eduquée" : l'éducation renvoie à la formation qui permet d'accéder à l'autonomie. Si elle consiste dans un premier temps à conduire quelqu'un, elle vise fondamentalement la liberté de celui qui est éduqué.
II - L'ANALYSE DU PROBLEME
Le sujet pose la question du statut de la sensibilité face aux œuvres d'art : est-elle de l'ordre du donné, propre à chaque individu non modifiable ? Ou n'est-elle qu'une faculté qui exige pour s'exercer d'être formée ? Si c'était le cas, en quoi consiste cette formation ? S'agit-il seulement d'accumuler des connaissances ? Ou de développer notre capacité d'être par la fréquentation des œuvres d'art ?
III - UNE DEMARCHE POSSIBLE
On peut organiser la réflexion selon une progression qui examine d'abord de façon critique l'idée selon laquelle dans le domaine de l'art, il n'y aurait que des préférences subjectives pour montrer ensuite que ce que l'on appelle le jugement de goût ne saurait être réduit à une opinion arbitraire. Si le goût relève du jugement, il n'est ni immédiat, ni spontané mais il est susceptible d'être formé. On pourra alors analyser en quoi consiste cette formation et montrer à quelle condition elle permet de développer, d'affiner notre réceptivité aux œuvres d'art afin d'étendre le champ de notre expérience esthétique.
A - "DES GOUTS ET DES COULEURS ON NE DISCUTE PAS"
1) La sensibilité renvoie à ce qui est perçu par les sens, à la faculté propre au sujet humain de recevoir une affection ou une émotion par la présence d'un objet. A ce titre, elle relève de la subjectivité et indique davantage le rapport que chacun entretien avec cet objet (plaisir ou désagrément) que ces qualités "objectives".
2) On observe ainsi que face aux œuvres d'art s'exprime une diversité d'opinions qui traduisent des préférences personnelles. De ce constat, on conclut ainsi à l'idée que chacun a ses goûts. Le goût est ainsi assimilé à un jugement spontané et immédiat. On ne sait pourquoi l'œuvre plaît ou déplaît et cette affection se présente dans la forme d'une évidence que rien ne pourra modifier.
B - PEUT-ON TOUTEFOIS ASSIMILER CETTE PRÉFÉRENCE SUBJECTIVE A UN VERITABLE JUGEMENT DE GOUT ?
N'est-ce pas confondre l'agréable ("ce qui fait plaisir") et le beau ("ce qui plaît") ? 1) La sensibilité esthétique ne peut être confondue avec la simple faculté de percevoir. La réception des œuvres d'art, si elle convoque les sens, ne saurait s'y limiter. 2) Kant montre ainsi qu'il y a une spécificité du jugement esthétique : le beau est ce qui fait l'objet d'une satisfaction désintéressée et libre. Les œuvres d'art suscitent ainsi une émotion esthétique qui s'adressent autant à la pensée qu'aux sens. A ce titre, celle-ci ne s'identifie pas à une simple opinion subjective. En témoignent d'ailleurs, nos tentatives visant à convaincre ceux qui ont des appréciations différentes des nôtres. 3) Il apparaît que nos goûts, que notre sensibilité esthétique sont susceptibles d'évoluer, de se transformer, de s'ouvrir à des formes qui ne suscitent pas d'emblée notre adhésion.
C - ON PEUT AINSI MONTRER QUE LA SENSIBILITÉ, PARCE QU'ELLE N'ÉCHAPPE PAS AUX PRÉJUGÉS ET AUX CONFORMISMES, GAGNE A ETRE "ÉDUQUÉE".
Comment concevoir cette éducation de la sensibilité ? 1) On ne saurait la réduire à l'accumulation de connaissances. Si l'histoire de l'art offre des ressources utiles pour comprendre le devenir des formes esthétiques et leur contexte, c'est surtout la fréquentation directe des œuvres qui permet le développement de cette sensibilité. 2) La réception d'une œuvre s'effectue dans la durée. Elle n'est pas immédiate mais exige une fréquentation renouvelée, animée d'une volonté de comprendre l'œuvre, la démarche de l'artiste, avant de l'évaluer par un jugement. L'échange et le dialogue sont à ce titre propices à une éducation de la sensibilité. Celle-ci ne saurait donc se limiter à la seule transmission des "canons" du bon goût.
IV - DES REFERENCES UTILES
Kant, Critique de faculté de juger Bourdieu, La distinction V - LES FAUSSES PISTES
S'en tenir à des généralités sur l'art et le goût.
VI - LE POINT DE VUE DU CORRECTEUR
Le sujet exigeait de définir avec précision la notion de sensibilité et de dégager la spécificité du sentiment esthétique. | |
| | | Corisme La Fondatrice
Nombre de messages : 1099 Localisation : Hirson Date d'inscription : 19/02/2005
| Sujet: Re: La philo Jeu 9 Juin à 21:01 | |
| Expliquez le texte suivant :
Il est assez difficile de comprendre, comment il se peut faire que des gens qui ont de l'esprit, aiment mieux se servir de l'esprit des autres dans la recherche de la vérité, que de celui que Dieu leur a donné. Il y a sans doute infiniment plus de plaisir et plus d'honneur à se conduire par ses propres yeux, que par ceux des autres ; et un homme qui a de bons yeux ne s'avisa jamais de se les fermer, ou de se les arracher, dans l'espérance d'avoir un conducteur. Sapientis oculi in capite ejus, stultus in tenebris ambula(1). Pourquoi le fou marche-t-il dans les ténèbres ? C'est qu'il ne voit que par les yeux d'autrui, et que ne voir que de cette manière, à proprement parler, c'est ne rien voir. L'usage de l'esprit est à l'usage des yeux, ce que l'esprit est aux yeux ; et de même que l'esprit est infiniment au-dessus des yeux, l'usage de l'esprit est accompagné de satisfactions bien plus solides, et qui le contentent bien autrement que la lumière et les couleurs ne contentent la vue. Les hommes toutefois se servent toujours de leurs yeux pour se conduire, et ils ne se servent presque jamais de leur esprit pour découvrir la vérité.
Malebranche, De la Recherche de la Vérité
(1) "Les yeux du sage sont dans sa tête ; l'insensé marche dans les ténèbres."
La connaissance de la doctrine de l'auteur n'est pas requise. Il faut et il suffit que l'explication rende compte, par la compréhension précise du texte, du problème dont il est question.
I - LES TERMES DU SUJET
Esprit : l'esprit est distinct du corps. Il désigne une faculté qu'a l'homme de distinguer le vrai du faux et de reconnaître des idées vraies, des évidences. De même que les yeux permettent de voir la réalité empirique, de même l'esprit permet de "voir" le vrai (notion d'évidence, du latin videre, voir).
Recherche de la vérité : c'est une définition classique de la philosophie. Celle-ci, depuis Socrate au moins tente de dépasser les opinions, les "on-dit" et se définit par une quête de quelque chose d'universel et de permanent. Cette quête est personnelle, singulière : il s'agit d'une expérience de l'homme qui éprouve, met à l'épreuve les fruits de sa réflexion.
II - L'ANALYSE DU PROBLEME
La problématique du texte est formulée au moyen d'une analogie : pourquoi un homme veut-il voir de ses propres yeux pour croire à l'existence d'une réalité sensible alors qu'il se contente le plus souvent de suivre l'opinion d'autres hommes concernant la recherche spirituelle de la vérité ? Et pourtant, de même que l'homme a des yeux qui lui permettent de voir (vision = faculté du corps), de même il a un esprit qui lui permet de penser par lui-même (faculté de l'âme). Ainsi ce texte exprime t-il un étonnement de l'auteur : les hommes ont la faculté de penser par eux-mêmes et pourtant ils ne l'exercent pas.
III - UNE DEMARCHE POSSIBLE
Le texte comprend deux parties, la deuxième analysant et conceptualisant la première. Les deux expriment l'étonnement que nous venons d'énoncer. Dans une première partie ("Il est" [...] "ambula"), Malebranche exprime son jugement avec prudence ("il est assez difficile de comprendre", "sans doute") et en accord avec le sens commun (notions de plaisir, d'honneur, citation d'un adage latin). Dans une deuxième partie, l'auteur est plus analytique ("pourquoi ? "), plus radical ("le fou"), plus conceptuel enfin (il construit alors une analogie autour de la notion d'usage). Une lecture critique du texte se devait de noter le statut singulier de cette analogie. Non justifiée mais accroissant l'étonnement commun, c'est une élaboration personnelle qui permet de dépasser le sens commun. C'est la thèse du texte. Comment expliquer cette thèse ? Malebranche tient pour évident que "l'esprit est infiniment au-dessus des yeux" ! Comment peut-il comparer l'esprit aux organes de la vision ? N'en fait-il pas un organe (spirituel certes), donc une chose ? Ne chosifie-t-il pas l'esprit ? Notre lecture semble justifiée par le texte : [l'esprit] "que Dieu leur a donné". L'esprit n'est pas un souffle, c'est une chose que Dieu nous a donnée. Ainsi, ce qui permet à Malebranche de passer d'une comparaison entre les yeux et l'esprit (première partie) à l'affirmation d'une supériorité de l'esprit sur les yeux (deuxième partie) est un présupposé théologique implicite qui commande en fait toute l'argumentation.
IV - DES REFERENCES UTILES
Descartes, Les Méditations Métaphysiques
Kant, Critique de la Raison Pure
V - LES FAUSSES PISTES
Le rapport entre les deux parties, analytique, pour classique qu'il soit en philosophie, devait être vu (il n'y a pas de progression argumentative à proprement parler).
VI - LE POINT DE VUE DU CORRECTEUR
Le texte est plus difficile qu'il n'en a l'air. Derrière la critique de l'opinion et l'exigence de penser par soi-même, se cachait un présupposé à mettre en évidence, et qui seul justifiait la thèse, paradoxale. | |
| | | Miliiiie Enigmatique
Nombre de messages : 792 Localisation : Saint-Michel Date d'inscription : 23/02/2005
| Sujet: Re: La philo Jeu 9 Juin à 21:18 | |
| wé jlé aV deja vu perso! Et en lizan ça...jsui vrémen trè contente! | |
| | | rudyyy Le Créateur
Nombre de messages : 1154 Localisation : Hirson Date d'inscription : 19/02/2005
| Sujet: Re: La philo Jeu 9 Juin à 21:58 | |
| ba moi chui pas content de se que j'ai fait et c'est tout ce que j'ai a dire!! | |
| | | Miliiiie Enigmatique
Nombre de messages : 792 Localisation : Saint-Michel Date d'inscription : 23/02/2005
| Sujet: Re: La philo Ven 10 Juin à 9:50 | |
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| | | Yien Enigmatique
Nombre de messages : 835 Age : 36 Localisation : Lille Date d'inscription : 21/02/2005
| Sujet: Re: La philo Ven 10 Juin à 11:48 | |
| moi ossi sui conten jé po tt a fé ski ya ds le corrigé, mé g kan mm d truk! pui c k'1 corrigé, c po LE corrigé! lol mé jé po mi dcitation doteur... ke d exemple dla vi kotidienn et un art dla constitution... mé bon sui kan mm conten pask G T inspiré! | |
| | | Marion Enigmatique
Nombre de messages : 633 Localisation : Buire Date d'inscription : 20/02/2005
| Sujet: Re: La philo Ven 10 Juin à 13:06 | |
| moi je dis pas j'ai réussi je dis pas j'ai loupé je m'avance à rien et j'attend les résultats... | |
| | | BartFlo Enigmatique
Nombre de messages : 812 Age : 35 Localisation : Nord Date d'inscription : 24/02/2005
| Sujet: Re: La philo Sam 11 Juin à 11:35 | |
| Moi je suis assez content de moi aussi, je me suis sentit bien inspiré et en plus j'ai pas mal de truc qui sont à peu près comme dans le corrigé! Mais en même temps c'est de la philo et on peut s'attendreà tout, donc wait and see! | |
| | | Bikouette Reveur
Nombre de messages : 357 Localisation : Saint Michel Date d'inscription : 21/02/2005
| Sujet: Re: La philo Jeu 11 Aoû à 13:30 | |
| Philo je c plus c'été quoi mais c'été le 1er je croi. Ou le 2ème ? Enfin.. OSEF !! J'ai eu 5 c'est le principal ! | |
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| Sujet: Re: La philo | |
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| | | | La philo | |
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